fête et cause

beaurepaire pour princesse tam tamSamedi 31 mai, les lecteurs avides de Libération ont pu découvrir, en 4e de couverture de leur quotidien, la photo pleine page d’une jeune femme, seins nus, juchée sur des épaules au cœur d’un mouvement de foule (festival rock, manifestation ?). Emprunt à Mai 68 ? Sûrement. Authentique ? Peu importe. Dénuement, noir et blanc, simplicité désarmante et émouvante, la photo dit bien plus que la nudité revendiquée. Libre et spontanée, elle porte aux nues, bien plus qu’elle n’expose, une expérience de liberté (chérie) que l’on ne cessa de défendre depuis…
Imaginé par l’agence et son directeur de création, Emmanuel Brunet, pour Princesse Tam Tam, la célèbre marque de lingerie, le visuel, véritable pied de nez aux codes de la publicité, montre une femme ne portant, justement, pas de soutif, à une époque ou l’on préféra les bruler en guise de protestation. C’est tout le propos de la marque : oublier le produit pour mieux exalter un acte militant et au-delà, un état d’esprit fondateur de la lutte pour les droits des femmes. Un retour aux sources nécessaire et plus que jamais d’actualité, puisque, (hasard objectif ?) le quotidien titrait ce même jour en couverture “Ni vierge, ni soumise*”, en référence à l’affaire du mariage annulé de Lille. Etonnant vis-à-vis, troublant diptyque retraçant, à travers 2 slogans et 2 images, 40 ans de l’histoire des femmes.

* en référence à la pétition lancée par l’association Ni putes, ni soumises.

le nouvel hôpital d’Annecy fait sa Une

beaurepaire pour le CHRAComment informer la population d’Annecy et des environs sur ce que sera leur nouvel hôpital ? A l’heure où celui-ci accueille ses premiers patients, les fidèles lecteurs du Dauphiné Libéré ont eu une (bonne) surprise : celle de découvrir dans l’édition du dimanche 18 mai un supplément haut en couleurs, entièrement consacré à ce nouveau-venu dans le paysage sanitaire local et régional.
Au menu de ce 8 pages tabloïd, l’essentiel à savoir sur les tenants et aboutissements d’un hôpital que tout le monde attendait depuis longtemps :

“La saga du projet”, racontée par l’un des directeurs de l’hôpital en charge du chantier ; la “Parole aux acteurs”, avec les interviews du directeur du CHRA et des politiques locaux ; une vue d’ensemble du nouvel hôpital, pour faire comprendre aux futurs visiteurs et patients les grands principes architecturaux de l’édifice ; puis son contenu, niveau par niveau, accompagné d’une interview du représentant des médecins qui s’exprime sur les grandes orientations médicales du nouvel établissement.
Un supplément entièrement conçu par beaurepaire et, de l’avis de la régie du Dauphiné, “le plus beau qu’on nous ait jamais confié !“.

communication hospitalière : succès des 2èmes Rencontres

beaurepaire_comhosp

©vincent kowalski

Dans le cadre de notre mission d’accompagnement de la modernisation de l’hôpital, nous avons co-organisé pour la deuxième année consécutive les Rencontres de la communication hospitalière. Pendant deux jours, les 25 et 26 mars, au FIAP Paris, cet événement a réuni quelque 250 professionnels – directeurs, responsables et chargés de communication des hôpitaux. Au menu, plusieurs thématiques retenues par l’agence : la place de la fonction communication dans les établissements sanitaires, l’hôpital et les nouveaux médias, le marketing territorial et, enfin, l’éthique dans la communication hospitalière. Des thématiques particulièrement actuelles et importantes pour des professionnels encore peu reconnus au sein de leur institution et qui, le plus souvent, manquent cruellement de moyens pour exercer dignement leur métier. Programmation, recherche et invitation des intervenants (dont Annie Podeur, directrice de l’hospitalisation et de l’organisation des soins et Claude Evin, président de la Fédération Hospitalière de France), annonce presse, animation d’une des journées, proposition adressée à tous les communicants présents de rejoindre un espace collaboratif ouvert par beaurepaire… à travers l’ensemble de ces actions, nous apportons notre contribution à l’heure où la com. hospitalière, interne et grand public, devient une ardente obligation. Ceci dans un contexte particulièrement évolutif puisque le système de santé va bientôt connaître de profonds remaniements, sur lesquels il faudra, là encore, que les communicants prennent la parole.